Détente

Azyssar était très tendu. Il ne savait que penser de son arrivé. Mais il savait une chose, c'est qu'il avait besoin de se détendre et de sentir l'odeur de l'eau. Il rentra dans le rotemburo et aperçut une fille. D'après ce qu'il ressentait, elle se sentait extraordinairement bien. lui était encore tendu. Il demanda par pure politesse.

"Tu préfère sûrement que je ne reste pas et que tu puisse être à l'aise toute seule... n'est-ce pas ?"

Il ressentait les bienfait de la vapeur contre sa peau et n'avait pas du tout envie de partir, mais si elle le lui demandait, il le ferait...

Azyssar fit une grimace qui ressemblait à un sourire avant de se mettre dans la tenue qui convenait pour rentrer dans un bassin d'eau délicieusement chaude. Une fois installé, il ferma les yeux. la fille les avait regardé. Il avait horreur qu'on s'arrête sur ce détail, celà était très génant. il n'avait pas choisi d'avoir des yeux aussi bizarres ! Elle n'avait sûrement pas été là lorsqu'il était rentré dans le hall. Il s'était chamaillé avec Krad Hikari avant de sympatiser avec lui. Il avait été acceuillit par un imbécile qui avait essayer de lui faire une blague avec une boule puante. L'homme c'était retrouvé à terre se tordant de douleur alors que Azyssar utilisait a peine son pouvoir sur le gamin.Il eut un rictus sinistre et parla.

"Je suis nouveau... Je m'appelle Azyssar..."

Il savoura un instant la douceur de l'obscurité qu'on pouvait avoir lorsqu'on avait les yeux fermés

"Tu maîtrise quels pouvoirs, si ce n'est pas trop indiscret ?"

Azyssar arrêta de sourire, puisqu'il n'était pas obligé. Il ferma les yeux au "compliment". Mais qu'avaient donc les gens à regarder ses globes oculaires si différents et pourtant comme tous les autres. Il grogna et plongea la tête sous l'eau. Là, il se sentait libre. Il remonta à la surface et déclara.

"Moi je déteste mes yeux. Ils me valent des regards étrangent. Et les compliments me semblent étrange, encore plus que mes yeux. C'est comme si tout le monde passait sa journée à regarder ta queue. C'est très dérangeant..."

Il se passa la main dans les cheveux et entendit le nom de la jeune fille. Il toussa, mais pas de sang, pour une fois.

"Enchanté Anuata, on m'appelle Azyssar... C'était le nom d'un Dieu de mon peuple..."

Lorsqu'elle lui demanda son pouvoir, il sourit, un vrai sourire, pour une fois. Il fit ressentir une détente incomparable à la jeune fille. Pour celà, il la touchait avec le pied.

"Quand je touche quelqu'un, je peux lui faire ressentir des émotions, des sensations et lui en prendre. Mais parfois, par exemple quand je suis stressé, ce sentiment par tout seul, sans que je touche et il se perd en quelqu'un, j'espère pouvoir le contrôler...."

[ heu je crois que tu t'es trompé de pseudo car tu as écrit Keilo ^_^' ]

Aparament le compliment que je t'avais donné par rapport à tes yeux ne te plaisait guerre, cela voyais trés bien à ta réaction.

" Je comprends trés bien ce que tu ressents, il est vrai que c'est assez énervant à la fin mais tes yeux sont une partie de toi que tu ne peux pas changer tout comme ma queu et mes oreilles. Même si je les cache quand j'en ai locasion, qui veux dire le plus possible, et bien je ne pourrais pas nier que suis ainsi que cla me plaise ou non. Je pense qu'il faut s'accepter comme on est c'est tout."

Et dire que c'était moi qui disait cela alors que je passais mon temps à être à l'écard des autres juste pour ne pas qu'ils me disent quoi que ce soit sur mon apparence. J'étais vraiment mal placée pour dire de telles choses.
Puis tu me fis une petite démonstration de ton pouvoir et ce que tu me fis n'étais pas désagréable, au contraire cela était même plaisant -^_^-. Alors tu m'expliqua mieux en quoi consistait ton don.

" Moi non plus je ne le contrôle pas parfaitement, quand je suis trop énervée ou bien en colère, je n'arrive pas à faire appraitre mon sabre."

Azyssar émit un grognement à la première tirade de la jeune fille. Il était loin d'être d'accord avec elle. "S'accepter comme on est..." ! Mais qu'était-il ? Il regarda la jeune fille avec insistance, comme si son oeil bleu était de la glace. Son oeil violet, lui, sembalit plutôt brûler...

"Que sommes nous ? Nous sommes différents des autres par bien des manières, d'abord pour notre...donet ensuite pour notre particularité physique. Mes yeux sont les mêmes que ceux du Prophète Nathan Rahl, de mon peuple. Suis-je prophète pour autant ? J'en doute. Je n'ai jamais lancé une tirade de propos incompréhensible. Jamais je n'ai prédit la mort d'un être ni la naissance d'un autre. Je suis juste différent. Si je cri, tout le monde m'entend, si je pleur, tout le monde le voit. Mais à la différence des autres, tout le monde me laisse. C'est ça être ce que l'on est ? C'est ça être magique ? Dans ce cas là, je veux bien être un simple animal avec une maîtresse exentrique qui m'habillera ridiculement, me coiffera et m'emmenera promener pour daire mes besoins !"

La rage brillait dans les deux yeux de l'enfant qui retenait ses foutues larmes. il se haissait. Il haissait tout le monde. Rien jamais n'y changerai.

"Toi, si tu as un problème, ton pouvoir s'annule. moi, il augmente, à chaque fois je prend le risque de toucher quelqu'un. Imagine si j'ai une douleur mortelle. Imagine que ça touche quelqu'un. Il mourrait instantannément. D'un autre côté, si toi tu es en danger et que ton pouvoir ne marche pas. Tu risque de mourir. Dire que les crétins démunis de pouvoir rêvent d'en avoir..."

Azyssar regarda intensément la fille. Il était encore plus énervé qu'avant. Il se redressa, raide et déclara.

"J'ai assez souffert pour aujourd'hui. Cette discussion me fait encore plus mal que les autres. Il ne manquerait plus que..."

Il se stoppa net dans ce qu'il allait dire. Ses yeux s'ouvrirent en grand. Ses pupilles se dilatèrent. Il ouvrit entre-ouvrit la bouche. Il était tétanisé. Il murmura :

"Tout mais pas ça..."

Mais ça ne servit à rien. Il toussa dans le bassin. Une floppée de sang gicla dans l'eau. Azyssar fut projeté à quatre pattes. Il avait la tête sous l'eau. Le sang coulait encore de sa bouche. Mais il continuait à tousser. S'il aspirait de l'eau, il risquait de se noyer. La mort; qui le regardait de très près, risquait de le prendre aujourd'hui. Il fallait qu'il réagisse. Mais une vague d'eau s'engorgea dans ses poumon. Il fallait qu'on l'aide, ou il mourrait...

(compte sur toi ^^)

[ tien sa me fait penser à ma maladie ^_^' bon ok je sorts ==> ]

[ et bien alors tu vas être le deuxième que je sauve alors enfin si j'arrive à te sauver ^_^' ]

Azissar ralait car la discution le faisait souffrir mais il n'avait rien fait pour le stopper. Il se leva furieux, et voila Anuata avait encore réussi à énerver une personne -_-' trop forte la fille. Puis d'un coup le jeune homme commença à cracher du sang et à s'écrouler sur les genoux. Anuata se leva alors rapidemant et alla retirer la tête de Azissar de l'eau et le fit complètement sortir du bassin le plus vite possible. Du sang coulait toujours de sa bouche. La jeune déchira un peu sa serviette pour essuyer le sang et en même temps elle vérifia le pou du garçon. Il ne respirait casiment plus, il avait du aspirer de l'eau quand il avait la tête sous l'eau. Elle entreprit alors de lui faire un massage cardiaque ainsi que du bouche à bouche mais cela ne fit auncun effet.

" Arr non toi aussi t'as pas intéret de mourir."

Il ne restait plus qu'à la jeune fille d'utiliser la lumière bleue qu'elle connaissait l'esixtance depuis peu mais est-ce qu'elle arriverait à l'utiliser comme il le faut. Elle plaça alors ses deux mains sur le torse du jeune homme et elle se concentra beaucoup, au bout de quelques secondes la lumière bleue apparut et Azissar commença à cracher l'eau qui se trouvait dans ses poumons.

Azyssar reprit conscience lorsqu'il sentit l'eau jaillir de sa bouche pour ratterir sur son torse. Il allait dire quelque chose, mais, encore une fois, il toussa. Le sang était presque noire. C'était de plus en plus fréquent et de plsu en plus grave. Il cracha du sang sur le sol et pour Anuata pour qu'elle ne se fasse pas asperger. Il n'arrivait plus a respirer tant il toussait. Il profitta d'un moment de répi pour dire...

"Merci... et désoler"

Il cracha encore du sang, plus que d'habitude. L'habitude commençait à changer dangereusement. il vit encore une fois la mort qui le narguait, près d'Anuata. Elle se rapprocha de lui, la main tendue. il l'ignora, mais elle se mit à le caresser sur les joues, à l'embrasser. La mort le désirait mais il la haissait. Alors, entre deux gicler de son propre sang, il cria :

"Vas-t-en !"

Bein que la jeune femme ne voyait pas la mort comme il la voyait. Jamais elle ne pourrait croire qu'il s'adressait à elle, puis qu'il fixait quelque chose qu'elle ne pouvait pas voir. Il se redressa sur les genoux pour s'éloigner de celle qu'il haissait tant. Mais il toussait encore trop de sang...

Azyssar frémit. Elle était de nouveau près de lui, elle tournait autour d'Anuata. Alors il hurla, crachant du sang un peu partout, les pupilles dilatées, les membres tremblant tout comme sa voix :

"Fout lui la paix ! Elle ne t'a rien fait ! Ni elle ni moi ! Mais ne touche pas les autres de ta main putride ! Tu m'a fait assez de mal ! Ne vise pas ceux qui m'approche !"

Si elle la touchait comme elle l'avait touché, Anuata souffrirait autant que lui, et ça, il ne l'ademettrait jamais. Il projetta la jeune fille dans l'eau et se redressa de tout son long. Il fusilla celle qui paraissait invisible aux yeux des autres et l'attrappa par le bras. Alors, il hurla. La douleur le déchira. Il retomba à terre, le sang coulant partout sur son corps. Il semblait mourir mais se refusait de lâcher la chose. Il la força à tomber à terre et quand leur visages se toiuchèrent, il réussit à murmurer avant de tomber dans le comat :

"Tu ne m'aura pas..."